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COMMERCE Jardiland crée son Pôle végétal et affirme son ambition

Le premier réseau français de jardineries (trois enseignes et 218 magasins) annonce une centaine d'ouverture de magasins d'ici 2015 et la mise en place d'un Pôle Végétal pour coordonner les approvisionnements issus de ses propres pépinières et de ses fournisseurs.

Le premier réseau français de jardineries (trois enseignes et 218 magasins) annonce une centaine d'ouverture de magasins d'ici 2015 et la mise en place d'un Pôle Végétal pour coordonner les approvisionnements issus de ses propres pépinières et de ses fournisseurs. Jardiland est également le premier pépiniériste français avec plus de 700 hectares répartis sur 4 sites. La production va de la création de nouvelles espèces à la livraison de végétaux directement en magasins. Partenariat de mise en culture Basés sur un modèle économique associant intégration et externalisation, les approvisionnements en végétaux du groupe sont aujourd'hui gérés par le nouveau Pôle végétal. Ce pôle doit permettre le développement de la logistique et des services associés pour une meilleure anticipation des commandes. Sa direction a été confiée à David Lévêque qui a pour mission d'assurer l'intégration de toute la filière végétale du Groupe comprenant les achats, la production et la distribution. Il appliquera la logique de « partenariat de mise en culture » aux pépinières du Groupe et aux fournisseurs extérieurs en s'appuyant sur l'intégration des systèmes d'information tout au long de la chaîne végétale au sein du pôle, depuis le magasin (CRM) jusqu'au suivi informatisé de la production intégrée. Le pôle va gérer la mise en place d'offres saisonnières, tout comme la diffusion accélérée de l'innovation végétale avec notamment la contribution de JNov et de Globe Planteur. « L'intégration de notre pôle végétal est importante dans notre stratégie de développement et dans la volonté de mettre en corrélation les besoins des magasins et ceux de la production, tout en favorisant l'innovation, souligne Guilhem Porcheron, directeur général du Groupe Jardiland. Après trois années caractérisées par une crise coûteuse, cyclique etsectorielle de surproduction, les investissements tant humains qu'économiques et techniquesconsentis, vont permettre de faire bénéficier nos clients tant internes au Groupe Jardiland, qu'externes et même concurrents, d'un outil de production performant d'un point de vue économique et environnemental».

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