« Depuis des mois, les producteurs adhérents à la FNPHP qui vous fournissent, pépiniéristes, horticulteurs, rosiéristes, vivaciers, bulbiculteurs, créateurs de nouvelles variétés... constatent que leurs rangs s'éclaircissent et s'interrogent sur la manière dont les marchés sont parfois conçus, attribués et livrés. J'entends qu'ici les rabais sur catalogue ont un poids de 50 % au sein des critères d'attribution (et le prix 0 %), que là on encourage la course aux délais de livraison express au mépris de toutes les règles de développement durable, que parfois certaines collectivités croient acheter hors taxes en s'approvisionnant à l'étranger alors qu'elles paient la TVA, par un jeu d'écritures décalé dans le temps, certes, mais elles la paient quand même »... Le discours de Muriel Armand, vice-présidente de la FNPHP, lors du congrès des directeurs de jardins et espaces verts publics de Vichy, en septembre dernier, réitéré aux Assises du fleurissement de Belfort, début décembre, n'est pas passé inaperçu.

La Fédération nationale des producteurs de l'horticulture et des pépinières (FNPHP) exhorte les collectivités à favoriser les végétaux du pays dans leurs appels d'offres. Un discours que nombre d'observateurs jugent irréaliste.
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