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Ces plantes qui piègent les ravageurs

Les plants d'aubergine font leurs preuves dans la lutte contre les aleurodes en culture de poinsettia. Les plantes-pièges, gérées rigoureusement, permettent de limiter les coûts de la protection biologique intégrée. D'autres trios « plante-piège/ravageur/culture » sont à l'étude.

L'Arexhor-Pays de la Loire (Les Ponts-de-Cé, 49) étudie depuis 2007 l'emploi des plantes-pièges sur différentes cultures ornementales sous abri, notamment le poinsettia, plante particulièrement sensible à l'aleurode du tabac Bemisia tabaci. Cette méthode de lutte offre de bons résultats dans les conditions d'essai, et aussi en production. Pratique répandue depuis plusieurs années en culture sous abri au Canada, elle consiste à attirer les ravageurs sur une plante plus sensible que la culture à protéger, pour ensuite les gérer spécifiquement (lâcher d'auxiliaire, effeuillage...). Alain Ferre, directeur technique de l'Arexhor-Pays de la Loire, soulève un prérequis important pour assurer l'efficacité de la méthode : « Les ravageurs ciblés doivent avoir une forte mobilité et être polyphages. » Les nuisibles types sont les aleurodes, les thrips, ou encore certains pucerons à un moment précis de leur cycle.

1 DES PLANTS D'AUBERGINE PARMI LES POINSETTIAS

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