Dans une synthèse technique, l'Institut technique de l'horticulture (Astredhor) récapitule ce que les stations du réseau ont pu vérifier. L'abaissement des températures « de consigne » de quelques degrés avance sur un fragile équilibre technico-économique. Fragile, car il s'agit de conduire la culture à la limite de sa résistance physiologique tout en maintenant la qualité. On joue sur les dates d'empotage, la durée de culture, le choix des espèces, l'effet de régulateur naturel sur la compacité et la rusticité, et sur le couple type de chauffage/type d'abri.
En matière d'économies d'énergie, les expérimentations avancent sur l'abaissement des températures « de consigne » et les obtenteurs sortent des cultivars plus tolérants au froid.
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