Dans un premier article intitulé « L'arbre urbain : en hiver, il craint le sel tout autant que le gel », paru dans le Lien horticole n° 793, du 28 mars 2012, nous avions abordé le froid, la neige, le verglas et les sels de déneigement sous l'angle des dégâts spécifiques causés aux arbres. Dans ce deuxième volet, il est question des solutions visant à réduire l'impact global sur l'environnement et des moyens mis en oeuvre pour assurer la sécurité des usagers des routes en période de neige ou de verglas. L'ensemble de ces moyens est désigné sous le terme de « viabilité hivernale ». L'effet négatif des fondants routiers, et en particulier du chlorure de sodium, ne concerne pas seulement les arbres, mais également les autres végétaux, la faune, les rivières, les lacs et les eaux souterraines. Aujourd'hui, cette problématique est devenue une préoccupation croissante pour les collectivités territoriales. Pour aller dans le sens d'une meilleure préservation des milieux naturels, des actions doivent être menées non seulement en direction des élus et des services techniques, mais également de la population.
Assurer la sécurité des usagers des routes en période de neige ou de verglas peut avoir des répercussions négatives sur l'environnement. Le plan de viabilité hivernale doit intégrer de bonnes pratiques visant à limiter cet impact. La sensibilisation des élus, des agents techniques et de la population est une étape indispensable au bon fonctionnement de ce dispositif. L'exemple d'Annemasse, en Haute-Savoie.
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