Utiliser les végétaux pour améliorer la qualité de l'air au sein des villes : l'idée n'est pas nouvelle. Toutefois, l'expérimentation qui a été menée sur les murs végétaux de la société Canevaflor montre qu'à l'instar du traitement des eaux usées en filtres plantés de roseaux ou des piscines biologiques, ce ne sont pas les plantes elles-mêmes qui assurent l'essentiel de la dégradation des polluants, mais plutôt les micro-organismes présents autour de leur système racinaire, c'est-à-dire la rhizosphère.
Une thèse de doctorat montre que les murs végétalisés dépolluants de la société Canevaflor sont efficaces grâce au substrat et non aux végétaux. Certains hydrocarbures sont complètement détruits dans une situation de « parking classique », mais il faut poursuivre le travail pour les autres polluants...
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