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Maladies fongiques. Un été à mildious pour les cultures florales

La pression « mildiou » s'exerce en particulier dans le nord-ouest de la France sous influence océanique. Ici, mildiou de l'impatiens hybride Plasmopara obducens.PHOTO : JÉRÔME JULLIEN
La pression « mildiou » s'exerce en particulier dans le nord-ouest de la France sous influence océanique. Ici, mildiou de l'impatiens hybride Plasmopara obducens.PHOTO : JÉRÔME JULLIEN

Qu'il s'agisse de productions horticoles ou d'espaces verts, la pression des agents infectieux est importante depuis la fin du mois d'avril.

En avril et en mai, les températures moyennes journalières sont restées assez fraîches, ne permettant pas une expression rapide des symptômes. La phase d'incubation a probablement duré jusqu'à vingt jours environ en plein air. Mais depuis le mois de juin, même si les températures sont souvent restées cantonnées au-dessous des normales de saison, elles ont suffi au développement rapide des mildious. La sortie des taches peut avoir lieu cinq jours seulement après la contamination.

Des conditions favorables aux maladies fongiques

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