Pour avoir une place sur le marché, on a parfois l'impression que les qualités requises pour les plantes se résument à une belle plastique (feuillage et/ou floraison), une bonne composition (résistance aux ravageurs et maladies, facilité de multiplication) ou encore des talents de production (fruits...). Or, de plus en plus nombreux sont les végétaux utilisés pour d'autres qualités : capacité à absorber des polluants, à fixer les sols pentus ou à reconquérir des sols dégradés... C'est le domaine du génie végétal, un marché qui se porte bien, comme l'ont montré les débats de la journée technique organisée le 13 décembre dernier à Paris par Val'hor, à l'initiative de l'Unep (Union nationale des entrepreneurs du paysage) et en partenariat avec l'AGbio (Association française pour le génie biologique ou génie végétal).
Le génie végétal est en plein essor et les entreprises du paysage ont un rôle important à y jouer : tel est l'un des principaux enseignements du colloque organisé à Paris en décembre dernier. Mais l'ensemble de la filière horticole peut gagner sur ce marché, pourvu que les règles du jeu soient enfin clarifiées.
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