La diminution de la matière organique des sols en association avec la diminution de l'activité microbienne contribue à augmenter les maladies telluriques dans nos agrosystèmes. Selon des résultats de recherches récents, les composts, en plus d'améliorer la rétention en eau, d'aérer et d'enrichir le sol en nutriments, peuvent permettre un contrôle biologique de certaines maladies grâce à leur flore microbienne. L'introduction de microorganismes pathogènes n'est toutefois pas à exclure, en particulier via l'épandage de lisiers, boues de stations d'épuration urbaines et industrielles (Escherichia coli, Shigella, Campylobacter, Listeria...).
En plus d'améliorer la rétention en eau, d'aérer et d'enrichir le sol en nutriments, les composts possèdent des effets suppressifs contre les maladies, variables selon leur composition, leur maturité... Les études cherchent à optimiser - ou à isoler - au mieux ces propriétés.
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