L'Uniphor (Union nationale des intérêts horticoles) a été reçue, mardi 6 août dernier, au ministère de l'Agriculture pour évoquer les difficultés du secteur de la fleur française. « Afin de minimiser les coûts énergétiques, certains horticulteurs ont dû retarder leur production et se trouvent en concurrence directe avec des végétaux importés qui ne connaissent aucune des contraintes fiscales, sociales et phytosanitaires imposées aux producteurs hexagonaux. Même ceux qui chauffent encore pour placer leurs produits avant l'arrivée des importations sont fragilisés », note l'Union qui souligne aussi qu'alors que « les contraintes sur les pesticides et l'environnement augmentent, la France importe massivement des fleurs cultivées avec des substances interdites sur le territoire ».

L'étiquetage permettrait de valoriser la fleur française, estime l'Uniphor...
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