Des feuilles qui jaunissent, dont les bords s'enroulent, recouvertes d'un duvet blanc grisâtre sur leur face inférieure pour finalement chuter et ne laisser qu'un bouquet de tiges dégarnies, des plantes rabougries avec de rares boutons floraux : le mildiou de l'impatiens peut être vu comme une malédiction pour quiconque se risque encore à planter Impatiens walleriana. Les plantes infectées périssent en seulement quelques jours. Ce peut aussi être une opportunité de renouveler la gamme, de faire découvrir d'autres plantes ou, pour les obtenteurs, de travailler et de proposer de nouveaux cultivars résistants.

Confrontés aux ravages causés par le mildiou de l'impatiens, les producteurs et les gestionnaires d'espaces verts doivent limiter leurs plantations en attendant mieux... Et en espérant que le travail des obtenteurs et des chercheurs débouche sur de nouvelles solutions comme l'arrivée sur le marché de cultivars résistants ou une protection phytosanitaire efficace.
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