Ce n'est pas aux professionnels de l'horticulture qu'il faut rappeler l'importance de la nomenclature botanique. Certaines libertés sont parfois prises avec l'orthographe des noms de plantes, certaines confusions s'installent parfois, mais, grosso modo, la nomenclature est respectée. Cette précision permet aux acteurs de la filière de dialoguer sur la base d'un langage commun. Avec un bémol toutefois : la communication avec le consommateur. Du fait de la part grandissante des jardiniers néophytes peu soucieux de botanique, les dénominations latines passent au second plan pour céder la place au nom commun sur les chromos.

Un article de La Garance voyageuse explique pourquoi la classification des espèces à fleurs évolue.
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