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Interview Stéphane Marie

Stéphane Marie, animateur télé (Silence, ça pousse !) et parrain du Salon du végétal 2016. © Christophe Fillieule/La Fabrik.FTV France 5 Stéphane Marie, animateur télé (Silence, ça pousse !) et parrain du Salon du végétal 2016. © Christophe Fillieule/La Fabrik.FTV France 5

« Pour que les plantes se vendent, il faut que ça saute à la tronche ! » : ainsi Stéphane Marie, animateur télé (Silence, ça pousse !, tous les vendredis soir, à 21 h 40, sur France 5) annonce la couleur en tant que parrain du Salon du végétal 2016.

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« Pour que les plantes se vendent, il faut que ça saute à la tronche ! » : ainsi Stéphane Marie, animateur télé (Silence, ça pousse !, tous les vendredis soir, à 21 h 40, sur France 5) annonce la couleur en tant que parrain du Salon du végétal 2016.

Pourquoi avez-vous accepté de devenir le parrain du Salon ? Les organisateurs m'ont contacté et m'ont exposé la façon dont ils envisageaient la réorganisation de la manifestation et j'ai été séduit par l'idée. Ce n'est pas un Salon que je connais vraiment bien, mais je sais que la filière a du mal, que tout le monde souffre. Si mon image peut permettre d'améliorer la situation, c'est une bonne chose. Le Salon est un objet commercial, mais aussi un lieu de rencontres, d'échanges. Dans un contexte difficile où les affaires sont dures, je trouve important de conserver et de redonner une visibilité à ce rendez-vous.

Que vous inspire le thème de cette année, le jardin en ville ? Je le trouve pertinent. Je ne mesure pas précisément ce qu'il peut apporter à la manifestation, si les exposants y adhéreront. Mais c'est une bonne façon d'axer et de présenter autrement l'offre végétale, de sortir de la routine. Cela devrait donner à voir des choses plus judicieuses, répondant davantage aux besoins des visiteurs, puisque la plupart des jardins sont aujourd'hui urbains et que les attentes y sont différentes. Lorsque, pour la rubrique « Pas de panique » de mon émission, je travaille sur un jardin urbain, je n'ai pas recours aux mêmes produits. En ville, il faut utiliser davantage de plantes d'ombre, des plantes plus petites et plus légères, parce que l'on ne peut pas forcément s'approcher tout près avec un véhicule... Et si je peux tester à la campagne de nouvelles techniques de potager, comme les lasagnes, c'est plus difficile à mettre en oeuvre lorsqu'il faut porter les matériaux au cinquième étage d'un immeuble ![...]

Interview complet dans le Lien horticole n°959 du 10 février 2016.

P.F.

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