Améliorer la protection biologique intégrée (PBI) sur le rosier, voici le défi du programme Bioberos, mené pendant deux ans chez deux rosiéristes. Le CDHRC (Comité de développement horticole de la région Centre, station constituante d'Astredhor) et le CFA (centre de formation d'apprentis) agricole de Bellegarde (45) ont démontré que des aménagements comme les bandes enherbées, les prairies fleuries, les plantes de service et les haies bocagères favorisent la présence des syrphes, des hyménoptères parasitoïdes, des cécidomyies prédatrices et des coccinelles. Un tas de petites bêtes qui peuvent combattre les pucerons ou autres bioagresseurs du rosier. Mais encore faut-il savoir les reconnaître !

Sur le rosier, le projet Bioberos confirme l'importance de l'environnement sur le développement des prédateurs. Décryptage des pratiques qui favorisent la biodiversité.
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