La chenille processionnaire du pin Thaumetopoea pityocampa, originaire du bassin méditerranéen, est responsable de dégâts sur les arbres mais constitue aussi un problème de santé publique, de par son caractère particulièrement urticant (1) pour l'homme, le bétail et les animaux domestiques. On estime que 25 % des pins français sont touchés. Le réchauffement climatique favorise la progression du papillon vers le nord de la France (plusieurs foyers ont été détectés en Île-de-France), à raison d'environ 4 à 5 km par an et de 3 à 7 m en altitude. Des processions de nymphoses sont parfois observées dès la fin du mois de décembre.

Pour venir à bout de la chenille urticante, le plus efficace est d'associer diverses techniques de lutte aux différents stades de développement de l'insecte.
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