Depuis plusieurs années, la commercialisation du rosier buisson pour la décoration des jardins a lieu plutôt au printemps qu'à l'automne. Les plantes sont alors vendues en début de végétation, voire en début de floraison, et sont nécessairement cultivées en pot. Quoique plus chers, ces produits sont beaucoup plus attractifs pour les consommateurs car ils donnent un effet décoratif immédiat. Or, l'un des critères essentiels de cette qualité visuelle est la forme globale de la plante ; très généralement, cette forme doit être compacte, ramifiée, équilibrée en hauteur et largeur. C'est pourquoi, pour le rosier comme pour les autres plantes ornementales cultivées en pot, la maîtrise de la croissance et de la ramification des tiges est indispensable.

La forme est une des composantes essentielles de la qualité esthétique d'une plante ornementale. Sa maîtrise par des techniques culturales alternatives aux régulateurs de croissance chimiques est désormais possible. Trois d'entre elles, initiées par l'Institut technique de l'horticulture Astredhor et l'Institut de recherche en horticulture et semences (IRHS), ont été expérimentées sur le rosier en pot.
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