Organisées par l'Institut technique de l'agriculture biologique (ITAB), ces journées des 26 et 27 avril dernier ont permis de dresser un état des lieux global des substances naturelles, dont le rôle devrait monter en puissance dans le contrôle des maladies, ravageurs et adventices dans les cultures en général, et ce malgré un contexte législatif très évolutif (à lire dans une prochaine édition du Lien horticole). Les espaces verts n'échappent pas à ce constat. Maxime Guérin a rappelé que, dans les années 1970, les responsables d'espaces verts avaient opté pour une gestion horticole rationalisée, raffinée, esthétique, sur la base d'une approche conventionnelle. À la fin des années 1990, la gestion différenciée, harmonique, évolutive ou durable a fait son apparition.
À l'occasion de journées techniques consacrées aux préparations naturelles peu préoccupantes (PNPP), Maxime Guérin, de Plante & Cité, a analysé la base de données du ministère, e-phy, pour dessiner le portrait d'un paysage en mutation.
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