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Conférence Les espaces verts à l'heure de la COP 21

De gauche à droite : Éric Lechevallier (ville de Rennes), Gaëlle Aggeri (CNFPT), Caroline Gutleben (Pante & Cité), Cathy Biass-Morin, (SEV de Versailles et AITF) et Patrick Berger (AITF) ont, entre autres, participé à la conférence du 8 décembre.PHOTO : AITF
De gauche à droite : Éric Lechevallier (ville de Rennes), Gaëlle Aggeri (CNFPT), Caroline Gutleben (Pante & Cité), Cathy Biass-Morin, (SEV de Versailles et AITF) et Patrick Berger (AITF) ont, entre autres, participé à la conférence du 8 décembre.PHOTO : AITF

L'événement a été largement relayé sous l'angle de l'énergie. Pourtant, divers aspects techniques ont été traités, dont les zones dédiées à la nature en ville.

On a essentiellement retenu de la Cop 21, - que la France a accueilli début décembre -, la difficulté à obtenir un accord sur les émissions de gaz à effet de serre et les discours des présidents des différentes nations qui y ont participé. Mais cet événement a aussi laissé de la place à des conférences et débats sur des thématiques en lien avec le développement durable, parmi lesquels les espaces verts, ou plutôt les espaces de nature en ville. Car c'est bien de la place du végétal en ville dont il a été question lors de l'après-midi du 8 décembre consacré au lien climat-biodiversité. L'AITF (Association des ingénieurs territoriaux de France), le CNFPT (Centre national de la fonction publique territoriale) et Plante & Cité étaient partie prenante dans ce rendez-vous. Avec l'association Humanité de Biodiversité, présidée par Bernard Chevassus-au-Louis, dont l'objectif est de construire des « stratégies sans regrets ». Concrètement, pour limiter le réchauffement climatique et s'y adapter, il est souvent proposé d'élaborer des stratégies fondées sur la nature. Selon l'association, elles doivent aussi, pour être acceptables sur le plan écologique, être favorables à la biodiversité. « Si l'on veut présenter la biodiversité comme une solution possible pour limiter les effets des changements climatiques, il ne faut pas pour autant cesser de la présenter comme un problème, c'est-à-dire d'alerter sur les évolutions extrêmement dommageables qu'elle pourrait subir et qui obéreraient sa capacité à être effectivement une solution », estime Bernard Chevassus-au-Louis.

Les villes doivent donner l'exemple

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