Pour l'UPJ (Union des entreprises pour la protection des jardins et des espaces publics), l'article 68 de la loi relative à la transition énergétique qui prévoit la suppression des produits phytosanitaires de synthèse pour les collectivités dès 2017 et à partir de 2019 pour les particuliers, risque de « favoriser la désertification des espaces urbains en faisant disparaître des espèces de végétaux vulnérables aux bioagresseurs ». La fédération énumère quelques organismes problématiques : processionnaire du chêne, maladies de dépérissement et pyrale du buis, chancre du marronnier, renouée asiatique, berce du Caucase, chalarose du frêne, ambroisie... « Il est mensonger de mettre en avant la possibilité de résoudre tous les problèmes de santé des plantes sans les produits de synthèse, et irréaliste de faire croire que l'entretien du jardin sera aussi facile, rapide et efficace. En supprimant les produits qui aident au développement des plantes et des arbres sains, les parlementaires ont voté la dégradation des conditions de vie des urbains. »
L'UPJ met en garde l'opinion contre la menace qui pèse sur les végétaux.
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