Les cultures de vivaces ne sont pas les plus gourmandes en énergie, mais les 25 ha de cultures de l'entreprise Maison Barrault ont, certaines années, brûlé jusqu'à 800 t de charbon pour chauffer une partie des 8 ha couverts dont ils disposent, soit 5 ha en verre et 3 en abris plastique. Le charbon étant une énergie polluante, une taxe de 60 euros la tonne a été mise en place cette année, qui devrait doubler l'an prochain. L'entreprise devait donc trouver rapidement une énergie alternative pour ne pas alourdir sa facture énergétique.

Les établissements Barrault, près d'Angers (49), viennent d'investir dans une chaudière au gaz naturel liquéfié. Une première en horticulture.
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