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Jardineries S'adapter à l'internaute plutôt que le fustiger

De plus en plus, les acheteurs en jardineries sont des internautes qui se renseignent avant de se rendre en magasin. La distribution doit vendre davantage de bien-être et moins de technique. PHOTO : ODILE MAILLARD
De plus en plus, les acheteurs en jardineries sont des internautes qui se renseignent avant de se rendre en magasin. La distribution doit vendre davantage de bien-être et moins de technique. PHOTO : ODILE MAILLARD

La montée d'Internet est encore mal prise en compte aujourd'hui, estimait le journaliste et formateur Roland Motte, au Salon du végétal.

« Pour les jardineries, Internet reste une contrainte. Un outil qui rend le client pénible. Mais, alors que les quelque 1 700 jardineries que compte notre pays ne couvrent que 20 % du marché du jardin (contre 30 % pour les grandes surfaces de bricolage), n'auraient-elles pas intérêt à intégrer les lois d'Internet plutôt que de fustiger un phénomène qui ne fera que s'affirmer un peu plus de jour en jour ? » Telle est la question posée par Roland Motte lors de sa conférence intitulée « Jardinerie, jardinier, je t'aime, moi non plus », pendant le Salon du végétal, en février dernier, à Angers (49).

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