Contenu réservé

Problèmes phytosanitaires en milieux urbains : bien les connaître pour mieux les maîtriser

Les soins apportés aux plantations en ville nécessitent une bonne connaissance des exigences culturales des végétaux et de leurs bioagresseurs. Les risques phytosanitaires sont répertoriés et classés. Cette hiérarchisation peut être modifiée avec l'arrivée de nouveaux nuisibles en France, comme le charançon des palmiers (Rhynchophorus ferrugineus) depuis 2006.PHOTO : JÉRÔME JULLIEN
Les soins apportés aux plantations en ville nécessitent une bonne connaissance des exigences culturales des végétaux et de leurs bioagresseurs. Les risques phytosanitaires sont répertoriés et classés. Cette hiérarchisation peut être modifiée avec l'arrivée de nouveaux nuisibles en France, comme le charançon des palmiers (Rhynchophorus ferrugineus) depuis 2006.PHOTO : JÉRÔME JULLIEN

Le challenge des gestionnaires d'espaces verts est de prémunir les plantations de toute atteinte, en réduisant l'usage des pesticides. L'efficience des méthodes de protection intégrée repose sur une bonne connaissance des problèmes phytosanitaires.

Préserver la vitalité, la fonctionnalité et la durabilité des plantations est l'une des principales préoccupations des gestionnaires de parcs et jardins en zones urbaines. C'est ainsi que ces végétaux assurent au mieux leurs vocations écologique, sociale, esthétique, urbanistique, touristique ou encore climatique. Mais sans un minimum de bonnes pratiques culturales et de connaissances phytosanitaires, les efforts consentis pour entretenir le patrimoine végétal se soldent souvent par des résultats aléatoires, voire décevants et inutilement coûteux. La réussite de la protection intégrée dépend en grande partie de la compréhension des mécanismes d'altération des végétaux. Plus encore, cette stratégie phytosanitaire en ville doit être considérée dans son ensemble, en tenant compte des relations entre les plantes cultivées et leur environnement urbain, certains facteurs de dépérissement étant d'origine parasitaire (biotiques) et d'autres non (abiotiques). C'est la raison pour laquelle, les prestataires de services en lutte biologique (Koppert, Biobest...) forment et accompagnent des correspondants au sein des services techniques municipaux. Les données acquises renforcent l'efficacité des mesures de biocontrôle mises en oeuvre.

Agir avec des alternatives aux traitements chimiques

1390

Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole

Pour y accéder : 3 possibilités !
12 %

Vous avez lu 12 % de l'article

Vous êtes déjà abonné,

Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.

J'ai déjà un compte
Vous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.

Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.

Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.

Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.

Ce contenu est réservé aux abonnés du Lien Horticole
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre