Des jardins plus petits. Qui seront sans doute plutôt de simples terrasses, au coeur d'un habitat qui doit se redensifier : volonté de ne plus laisser s'étendre les villes au détriment des terres arables oblige. Cet habitat dense sera noyé dans des trames laissant davantage de place aux espaces verts. Ou plus précisément aux espaces de nature en ville, comme le définit l'association Hortis, ex Association des directeurs de jardins et espaces verts publics, qui se décline désormais comme l'association des responsables d'espaces nature en ville. Telles sont les grandes lignes. Moins de gros végétaux, par exemple, puisque l'espace sera plus contraint. Mais de manière plus précise, quelles seront les photos qui rentreront dans ce cadre ? Quel sera le contenu de ces différents espaces destinés à recevoir du végétal ? Difficile de le dire, tant on peut imaginer que les tendances sont soumises à des modes plus ou moins éphémères. On peut néanmoins, à partir des mouvements qui se profilent, tenter de dessiner la ville nature de demain et les jardins qui y seront associés... Un exercice personnel qui n'engage que son auteur ? Peut-être. Mais toute contribution à cet exercice sera la bienvenue dans les prochains numéros !

Le Salon du végétal se tiendra à Angers (49) du 16 au 18 février prochain sur le thème du jardin en ville. Un sujet en phase avec notre société, qui s'urbanise mais a toujours besoin de vert, tant pour conserver ses racines que pour rendre la ville plus supportable. Portrait de la cité végétale de demain, à partir de ce que l'on peut observer aujourd'hui...
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