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Palmiers Un colloque pour tout savoir sur le papillon tueur

Les palmiers de la Côte d'Azur sont menacés par le charançon Rhynchophorus ferrugineus, mais aussi par le papillon Paysadisia archon. Un colloque sur ce second ravageur aura lieu le 1er juin 2017 à Rocbaron (83). ©Valérie Vidril Les palmiers de la Côte d'Azur sont menacés par le charançon Rhynchophorus ferrugineus, mais aussi par le papillon Paysadisia archon. Un colloque sur ce second ravageur aura lieu le 1er juin 2017 à Rocbaron (83). ©Valérie Vidril
Les palmiers de la Côte d'Azur sont menacés par le charançon Rhynchophorus ferrugineus, mais aussi par le papillon Paysadisia archon. Un colloque sur ce second ravageur aura lieu le 1er juin 2017 à Rocbaron (83). ©Valérie Vidril Les palmiers de la Côte d'Azur sont menacés par le charançon Rhynchophorus ferrugineus, mais aussi par le papillon Paysadisia archon. Un colloque sur ce second ravageur aura lieu le 1er juin 2017 à Rocbaron (83). ©Valérie Vidril

Le premier juin prochain, un après-midi entier sera consacré en PACA au thème « Le papillon Paysandisia, l'autre tueur des palmiers ».

Le premier juin prochain, un après-midi entier sera consacré en PACA au thème « Le papillon Paysandisia, l'autre tueur des palmiers ».

Dans le quart sud-est de la France, deux ravageurs ont jeté leur dévolu sur les palmiers. Le premier est un papillon, Paysandisia archon. Le second est un charançon, Rhynchophorus ferrugineus. Le premier sévit surtout à l'ouest de l'arc méditerranéen, de Marseille à Perpignan.Le second est plus actif entre Marseille et Nice. Mais dans cette région, le papillon n'est pas pour autant en reste, même si l'issue d'une attaque est moins destructrice des sujets atteints. En effet, si le charançon n'est quasiment pas visible tant que les dégâts irréversibles n'apparaissent pas, et il s'agit parfois de la chute des houppiers des palmiers atteints, le papillon se montre plus volontiers pendant les beaux jours et différents modes de lutte ont vu le jour. Reste que la volonté de mettre en oeuvre ces méthodes doit être plus forte sur le terrain, et pour cela, la sensibilisation reste indispensable.

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