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Caté Expérimenter aujourd'hui et demain

Laurent Mary, responsable d'expérimentation, présente les essais du Caté à Corinne Bitaud, la nouvelle directrice d'Astredhor (à gauche), et Claude Déhais, président de l'institut (à droite). ©Valérie Vidril Laurent Mary, responsable d'expérimentation, présente les essais du Caté à Corinne Bitaud, la nouvelle directrice d'Astredhor (à gauche), et Claude Déhais, président de l'institut (à droite). ©Valérie Vidril
Laurent Mary, responsable d'expérimentation, présente les essais du Caté à Corinne Bitaud, la nouvelle directrice d'Astredhor (à gauche), et Claude Déhais, président de l'institut (à droite). ©Valérie Vidril Laurent Mary, responsable d'expérimentation, présente les essais du Caté à Corinne Bitaud, la nouvelle directrice d'Astredhor (à gauche), et Claude Déhais, président de l'institut (à droite). ©Valérie Vidril

La visite de la directrice d'Astredhor a suscité des échanges autour du financement des stations, de l'avenir de la filière et des travaux en cours.

La visite de la directrice d'Astredhor a suscité des échanges autour du financement des stations, de l'avenir de la filière et des travaux en cours.

Le 14 avril 2017, Corinne Bitaud, nouvelle directrice d'Astredhor, et son président, Claude Déhais, se sont rendus à la station d'expérimentation du Caté (Comité d'action technique et économique), à Saint-Pol-de-Léon (29). Le directeur, Michel Le Roux, a présenté l'historique du syndicat professionnel au slogan encore très actuel « Producteurs, chercheurs, vendeurs : tous tirent dans le même sens » ainsi que son fonctionnement, au service des légumiers et des producteurs de champignons et plantes d'ornement (pépinière et fleur coupée), au sein d'une filière régionale très structurée.La station du Caté bénéficie d'un financement relativement équilibré avec 53 % issus de subventions. Une part raisonnable, qui augmente largement (65-70 %) si on ne considère que le secteur horticole (*). Or les aides publiques, notamment celles issues du Casdar, tendent à diminuer dangereusement avec des répercussions directes sur l'expérimentation. Comme pour le Ratho (**), autre structure de l'institut, la station s'est vue refuser le soutien de projets par FranceAgriMer, ce qui a affecté son budget pour 2016 et 2017. Par ailleurs, l'orientation clairement environnementale des aides conduit à délaisser certains projets d'adaptation au marché. Dans le contexte de baisse des subventions, la station a recruté il y a un an un ingénieur chargé de prospecter les appels à projets européens.

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