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Santé du végétal Les points de vigilance d'octobre

Les chenilles de premiers stades de la processionnaire du pin ont fait leur apparition sur une grande majorité du territoire métropolitain. ©Éric Chapin Les chenilles de premiers stades de la processionnaire du pin ont fait leur apparition sur une grande majorité du territoire métropolitain. ©Éric Chapin
Les chenilles de premiers stades de la processionnaire du pin ont fait leur apparition sur une grande majorité du territoire métropolitain. ©Éric Chapin Les chenilles de premiers stades de la processionnaire du pin ont fait leur apparition sur une grande majorité du territoire métropolitain. ©Éric Chapin

Notre expert en protection des plantes, Éric Chapin, synthétise, pour ce début de mois, quelques observations sur l'état des plantations et recommandations de surveillance.

Notre expert en protection des plantes, Éric Chapin, synthétise, pour ce début de mois, quelques observations sur l'état des plantations et recommandations de surveillance.

Avec la chute des températures, la saison végétative s'achève, excepté en climat méditerranéen où elle reprend. Sur le plan sanitaire, les pressions parasitaires des oïdiums, des rouilles, des acariens, des tigres, des psylles, des pucerons, des maladies foliaires diverses, etc. ont tendance à régresser. Plusieurs herbes considérées comme indésirables (l'ambroisie, la grande berce du Caucase, le buddleia ou arbre aux papillons, la balsamine géante, etc.) portent des graines matures prêtes à se disséminer. Lorsque la lutte est justifiée, l'arrachage avant la maturation des graines est fortement conseillé. La fin de l'été et le début de l'automne sont des périodes où l'on peut encore observer des adultes de coccinelle diverses. Ces derniers, généralement cavernicoles, recherchent un lieu où s'abriter pour l'hiver. La coccinelle Harmonia axyridis n'hésite pas à s'inviter dès les premiers froids dans les habitations. Après le tigre du chêne (*), un nouveau tigre vient d'être détecté en France. Il s'agit du tigre du laurier-sauce, Stephanitis lauri qui a été observé cet été sur le littoral des Alpes-Maritimes. On ne connaît ni sa biologie, ni son aire d'origine. On sait juste qu'il a été décrit en 2014 à partir d'individus collectés en Crète. Sa dissémination par les échanges commerciaux est très probable.Les situations de nos principaux bioagresseurs d'importance nationale sont les suivantes.

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