Bemisia tabaci, principal ravageur en production de poinsettias, provoque des dégâts directs par ses piqûres d'alimentation, et des dégâts indirects par la transmission de virus et le développement de fumagine conduisant à la dépréciation commerciale de la plante. Quelques substances chimiques sont encore autorisées en lutte conventionnelle (pyriproxyfène, acétamipride, thiamethoxam...). Toutefois, « les populations de Bemisia tabaci dans le sud-ouest de la France sont de plus en plus résistantes », explique Rosy Pauwels, product manager chez Biobest. D'où le développement de la protection biologique intégrée (PBI).

Selon un essai de la station d'expérimentation Astredhor Sud-Ouest GIE Fleurs et plantes, les producteurs de poinsettias peuvent optimiser la lutte contre Bemisia tabaci en offrant un complément alimentaire aux acariens prédateurs.
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