Il s'agit de redistribuer l'air et de provoquer l'inversion des températures.Le modèle actuel peut gérer jusqu'à plus de 5 ha en même temps, dans le sens d'écoulement du courant d'air ou en rotation complète ; il est financièrement intéressant à partir d'un minimum d'1 ha. Le nombre d'éolienne, leur position dans le terrain, la topographie (plaine, montagne, vallée...), la hauteur et l'angle de l'hélice (modifiables) doivent être étudiés au cas par cas pour se donner les meilleures chances de réussite. L'entreprise se déplace sur site pour réaliser une étude en fonction de la disposition et de la hauteur des plantations (variables en arboriculture, en viticulture...). Sa tour est mobile et repliable. L'éolienne peut être déplacée, derrière un tracteur ou une voiture, en fonction des besoins et de la saison. Elle peut être démarrée ou stoppée automatiquement.Elle consomme 5 l/h (super sans plomb). Elle ne produit que 40 à 50 décibels à 300 m de distance. Un essai est en cours sur hortensias. Cette nouveauté peut servir également pour du séchage...

Ce « ventilateur de protection aérienne », primé de bronze au Sival 2017, a été conçu spécialement pour protéger du gel (jusqu'à - 5,2 °C) ou du refroidissement les cultures en pleine terre.
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