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Terra Botanica Saison 9

Le parc du végétal Terra Botanica offre à ses visiteurs un voyage dépaysant dans un cabinet de curiosités végétales, imaginé par le tendanceur angevin Chlorosphère. (c)Pascal Fayolle Le parc du végétal Terra Botanica offre à ses visiteurs un voyage dépaysant dans un cabinet de curiosités végétales, imaginé par le tendanceur angevin Chlorosphère. (c)Pascal Fayolle
Le parc du végétal Terra Botanica offre à ses visiteurs un voyage dépaysant dans un cabinet de curiosités végétales, imaginé par le tendanceur angevin Chlorosphère. (c)Pascal Fayolle Le parc du végétal Terra Botanica offre à ses visiteurs un voyage dépaysant dans un cabinet de curiosités végétales, imaginé par le tendanceur angevin Chlorosphère. (c)Pascal Fayolle

Indicateurs au vert, davantage de collaborations avec les professionnels et de transmission vers le grand public : le parc du végétal mise sur un changement de regard à son encontre et une attractivité renforcée.

Indicateurs au vert, davantage de collaborations avec les professionnels et de transmission vers le grand public : le parc du végétal mise sur un changement de regard à son encontre et une attractivité renforcée.

Denis Griffon, directeur du site angevin, affirme des ambitions renouvelées pour Terra Botanica : « Le discours sur le parc a évolué. Il s'affirme avec une triple fonction de mission de service public, de vitrine du végétal et de vecteur d'image pour la destination Anjou. » D'où des efforts sur l'évolution de son offre. Le travail de fond qui a été mené depuis trois ans par la nouvelle équipe porte à présent ses fruits. L'attractivité a été renouvelée par un positionnement consolidé de « jardin extraordinaire ». Avec une redéfinition de l'image et des clientèles : . ciblage du jeune public (dont les enfants de moins de 12 ans);. prise en compte des voeux des visiteurs (étiquetages, espaces de repos et de jeux destinés aux familles...). Résultat : le cap de 260 000 visites a été dépassé en 2017. Les partenaires financiers - le conseil général pour 52 % et la ville d'Angers (49) pour 48 % - repartent avec un programme triennal de développement sur 2018-2020. Fini les querelles de chapelle du début : Terra Botanica, c'est à Angers !L'équilibre budgétaire du lieu serait assuré avec 300 000 visiteurs. L'idée en cours : faire entrer au capital des sociétés partenaires et des mécènes du végétal qui se serviraient du parc comme vitrine. Aujourd'hui, l'ancrage territorial est plus fort avec une nouvelle attraction baptisée « Le colporteur de rêves ». Les colporteurs de l'Oisans, venus commercer sur les terres angevines, n'ont-ils pas donné naissance à l'horticulture de la région via des lignées de professionnels comme Boos et Turc ? Un film le relate, suivi d'une visite d'un cabinet de curiosités végétales.

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