Plus habitué des plateaux de télévision que des assemblées de professionnels du végétal, l'économiste Nicolas Bouzou, qui se revendique comme libéral et a fondé en 2006 le cabinet Asterès, a néanmoins travaillé récemment pour nos métiers à la demande de l'interprofession Val'hor. C'est à la suite de ce travail qu'il a accepté, en clôture de la dernière assemblée générale de Val'hor, début octobre, de dresser « son point de vue sur l'économie de la filière ». Celle du végétal d'ornement, bien qu'il considère le terme comme « très mauvais » (voir notre édito du n° 1033 du 1er novembre dernier). « Le spectre du métier va au-delà de ce terme, et il est possible qu'il devienne secondaire », précise-t-il, rappelant le « sens de ce que nous vivons : les gens plébiscitent le végétal, mais n'achètent pas ». Pour comprendre pourquoi, il faut remonter à ce qui est en cours : la plus grande mutation technologique depuis la Renaissance. Tout va changer, en passant par un grand chaos, selon le processus de destructioncréatrice de Schumpeter.
« Vous êtes une filière d'avenir. » Invité lors de l'assemblée générale de l'interprofession Val'hor, l'économiste Nicolas Bouzou a brossé un avenir optimiste pour nos métiers.
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