L'immobilisation de la station de fertilisation pour panne peut avoir des conséquences assez désastreuses pour certaines productions, notamment celles sur substrat à très faible capacité d'échange de minéraux, en hydroponie ou en aéroponie. Au-delà du bon développement de la culture, l'état de l'équipement de fertirrigation peut engendrer des impacts environnementaux par augmentation des effluents rejetés. De même, les surdosages ou fuites sont autant de dépenses inutiles. Nous abordons ici uniquement les stations équipées de capteurs et de régulateurs électroniques permettant de préparer la solution d'arrosage en définissant des consignes d'EC (électroconductivité) et de pH. Il existe deux grands groupes de stations, avec bac de mélange ou à injection directe. Dans les deux cas, l'injection de matières fertilisantes peut être réalisée par des pompes doseuses électriques ou par des venturis.

Lorsque la nutrition minérale dépend d'une station de fertilisation, une vérification approfondie est à envisager avant la période d'usage intensif.
881
Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole
Pour y accéder : 3 possibilités !
15 %
Vous avez lu 15 % de l'article
Vous êtes déjà abonné,
Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.
J'ai déjà un compteVous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.
Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.
Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.
Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.