«La concentration des entreprises du paysage ces dernières années fait pression sur les prix. Pour les pépinières moyennes comme la nôtre, il devient très difficile de travailler avec elles », explique Michel Le Borgne, propriétaire des pépinières Drappier, à Lecelles (59). Outre les problèmes des prix cassés, le temps long de la culture en pleine terre est compliqué à gérer (problèmes de ravageurs ou maladies, mode qui passe, etc.).
Pour retrouver des marges, les pépinières Drappier, dans le Nord, parient sur la conversion à ce système de production, dont le retour sur investissement est rapide.
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