Contenu réservé

Le biocontrôle des otiorhynques

Les nématodes entomopathogènes, utilisés depuis plus de trente ans en Europe, aident à lutter contre les larves d’otiorhynques présentes dans les sols. Cette stratégie est à déployer dès  a fin de l’été.

Cycle de vie du ravageur

Parmi les 350 000 espèces connues dans l’ordre des coléoptères, reconnaissables à leurs élytres (ailes coriaces antérieures) ainsi qu’à leurs redoutables pièces buccales de type broyeur, les otiorhynques savent se rappeler régulièrement au bon souvenir des producteurs. Les coléoptères sont connus pour leur diversité de forme, de taille et d’habitat. Dans cet ordre, des auxiliaires effi­caces, tels que les coccinelles, côtoient des ravageurs redoutés comme les hannetons, criocères, capnodes, charançons (tels que Rhynchophorus) et bien évidemment otiorhynques. Ils passent tous par une métamorphose complète : la larve est très différente de l’adulte. Il est donc essentiel de bien connaître le cycle du ravageur pour savoir à qui on a affaire. La principale espèce d’otiorhynque en France reste Otiorhynchus sulcatus.

1055

Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole

Pour y accéder : 3 possibilités !
12 %

Vous avez lu 12 % de l'article

Vous êtes déjà abonné,

Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.

J'ai déjà un compte
Vous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.

Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.

Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.

Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.

Ce contenu est réservé aux abonnés du Lien Horticole
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre