Renouée du Japon (Reynoutria japonica), ambroisie à feuille d’armoise (Ambrosia artemisiifolia), robinier faux-acacia (Robinia pseudoacacia), mimosa (Acacia dealbata), herbe de la pampa (Cortaderia selloana), ailante (Ailanthus altissima), etc. Toutes ces plantes ont la particularité commune d’être des exotiques envahissantes. C’est-à-dire que ce sont des espèces introduites par l’Homme en dehors de leur aire de répartition naturelle et dont la propagation menace les écosystèmes, les habitats ou les espèces indigènes avec des conséquences écologiques ou économiques ou sanitaires négatives. Toutefois, seule une faible proportion des espèces introduites sur un nouveau territoire devient envahissantes, environ 1 pour 1 000 espèces (voir encadré).

Les végétaux ne représentent qu’une petite partie des espèces exotiques envahissantes (EEE) (en majorité des insectes, des champignons, etc.). Mais certaines plantes exotiques envahissantes (PEE) ont des conséquences lourdes sur les communautés végétales ou notre santé. En découle la nécessité d’une gestion organisée et collective.Par Claude Tiery et Léna Hespel
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