Si les pelouses dites « prestige », tondues, arrosées et fertilisées régulièrement, trouvent encore leur place en ville, leur surface tend à diminuer au fil des années. D’abord pour des raisons économiques, afin de réduire les coûts d’entretien, ensuite parce que ces espaces sont de moins en moins en phase avec les attentes des citadins, qui aspirent à davantage de naturel. Lors d’une journée technique EchoPaysage à l’EPL de Dardilly (69), le 13 juin dernier, Jean-Marie Rogel – pour la Ville de Lyon (69) – et Guy Longeard – pour la ville de Besançon (25) – ont présenté comment, dans chaque collectivité, s’est opérée cette transition vers des couverts enherbés gérés de façon plus extensive et écologique.
À l’image de Lyon ou de Besançon, de nombreuses villes se détournent des pelouses nécessitant un entretien régulier et misent sur d’autres types de gestion des couverts enherbés.
815
Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole
Pour y accéder : 3 possibilités !
15 %
Vous avez lu 15 % de l'article
Vous êtes déjà abonné,
Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.
J'ai déjà un compteVous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.
Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.
Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.
Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.