Pour les nombreux professionnels invités à s’exprimer lors de cet « appel à l’action pour une ville-nature », il n’y a pas de doutes possibles : nous devons aujourd’hui faire face à deux urgences, celle du climat et celle du vivant. Pour le climat, la montée des températures moyennes est une réalité. Pour le vivant, la plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques a récemment fait état d’un effondrement du vivant sans précédent : un million d’espèces est menacé. Cette étude a été largement relayée dans les médias. Les insectes en général (et en particulier les abeilles), mais aussi les moineaux (près des trois-quarts ont disparu à Paris), pour ne citer que ces exemples, le prouvent.

Lors de la journée professionnelle qui a ouvert l’événement Jardins Jardin aux Tuileries le 5 juin, Val’Hor et l’association CIBI (1), ont lancé un appel à agir pour changer le logiciel de la conception des villes, dans lesquelles le végétal doit prendre plus de place.
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