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Distribution Intermarché soutient les producteurs de tulipes

Pour soutenir la filière fleurs coupées, Intermarché a mis en place une opération sur des bouquets de tulipes à prix coûtant pendant un week-end, du 13 au 15 novembre. ©Intermarché

Pour aider la filière « Fleurs coupées » à faire face aux difficultés liées au reconfinement, l’enseigne Intermarché a vendu des tulipes à prix coûtant cette semaine.

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Consciente que « confrontée à la fermeture des rayons et des commerces dits ‘’non-essentiels’’ » la filière horticole doit de nouveau faire face à la crise faute de débouchés commerciaux suffisants, l’enseigne Intermarché a mis en place cette semaine une opération sur les tulipes. Elle a mis en vente des bouquets de tulipes françaises à prix coûtant sur son site e-commerce et a engagé une campagne médiatique pour éveiller l’intérêt des consommateurs et les engager à un achat solidaire.

Démarrage de la saison pour les tulipes précoces

« Les tulipes précoces ou hâtives fleurissent tôt en saison, explique l’enseigne pour préciser sa démarche. Les tulipes continuent de pousser dans les serres et sont des produits périssables ».
Pour contribuer à redynamiser l’activité, Intermarché a mis en vente, le week-end du 14 et 15 novembre 2020, 90 000 bouquets de 7 tulipes précoces labellisées « Fleurs de France », « afin d’offrir un maximum de débouchés à un maximum de volumes ».
Pour cette opération, Intermarché a acheté 630 000 tulipes à l’entreprise familiale Bigot Fleurs, située dans la Sarthe (72).

« Depuis le début de la crise sanitaire, nous sommes aux côtés des producteurs français. Nous nous mobilisons, chaque jour, pour apporter notre aide aux filières en difficulté. Cette semaine, nous soutenons les producteurs de tulipes qui sont durement impactés par la crise sanitaire. Nous avons commandé 90 000 bouquets de tulipes à notre partenaire, Bigot Fleurs, qui emploie 160 salariés. Avec cette opération, nous souhaitons leur offrir les débouchés nécessaires pour écouler une partie de leurs stocks et ainsi contribuer à sauver leur activité », a indiqué Stéphane de Fontenay, chef d’entreprise Intermarché en charge du commerce de l’enseigne.

Pascal Fayolle

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