Contraction des mots « biodiversité » et « vandalisme », le concept du biodalisme vise à sensibiliser les citadins au déclin de la biodiversité, à l’artificialisation à outrance et à la bitumisation des sols. L’instigatrice initiale, Fanny Ehl, designeuse parisienne, s’est inspirée des « guerrillas gardening » qui utilisent le jardinage comme moyen d’action environnemental. L’espace urbain est végétalisé par de micro-interventions : les « dépavistes » remplacent ainsi les blocs de pierre par le « pavégétal ». Les passants ne piétinent pas les fleurs ; parfois un arrosoir, déposé à proximité, invite à choyer ce nouveau coin de verdure.
Le « pavégétal » des militants de la biodiversité
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