Les agriculteurs vivent mal aujourd’hui l’agribashing, le matraquage permanent dont ils sont l’objet sur leurs pratiques, jugées trop productivistes ou pas suffisamment respectueuses de l’environnement. L’horticulture est moins soumise à cette tendance, qui n’a jamais été autant répandue, semble-t-il, Internet lui assurant une formidable caisse de résonance. Mais les fleurs coupées, qui viennent massivement de pays lointains, sont souvent montrées du doigt elles aussi.
Les campagnes de dénigrement de certains produits ne sont pas nouvelles, elles se sont renforcées avec les réseaux sociaux. Mais pas facile d’anticiper leur impact sur les ventes.
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