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La surveillance phytosanitairede plus en plus déléguée aux professionnels

Le nouveau règlement européen augmente la part d’autocontrôle en production sous la forme d’un plan de gestion du risque phytosanitaire (PGRP), une démarche volontaire.

Dans le cadre du nou­veau­ règlement européen (lire l’encadré), les producteurs qui le souhaitent peuvent mettre en place un plan de gestion du risque phyto­sa­ni­taire (PGRP). Un responsable de l’entreprise­ sera tenu d’établir une surveillance en interne de la production. Une fois la démarche mise en place et validée, il y aura moins d’inspections. « Il pourrait n’y avoir qu’un contrôle tous les deux ans au lieu de un à plusieurs chaque année », avance Jérôme Jullien, ex­pert national en horticulture, jardins et es­paces verts.

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