Dans le cadre du nouveau règlement européen (lire l’encadré), les producteurs qui le souhaitent peuvent mettre en place un plan de gestion du risque phytosanitaire (PGRP). Un responsable de l’entreprise sera tenu d’établir une surveillance en interne de la production. Une fois la démarche mise en place et validée, il y aura moins d’inspections. « Il pourrait n’y avoir qu’un contrôle tous les deux ans au lieu de un à plusieurs chaque année », avance Jérôme Jullien, expert national en horticulture, jardins et espaces verts.
Contenu réservé
La surveillance phytosanitairede plus en plus déléguée aux professionnels
Le nouveau règlement européen augmente la part d’autocontrôle en production sous la forme d’un plan de gestion du risque phytosanitaire (PGRP), une démarche volontaire.
416
Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole
Pour y accéder : 3 possibilités !
20 %
Vous avez lu 20 % de l'article
Vous êtes déjà abonné,
Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.
J'ai déjà un compteVous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.
Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.
Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.
Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.