Le terme îlot de chaleur urbain (ICU) caractérise un secteur d’une ville où les températures de l’air et des surfaces sont supérieures à celles de la périphérie rurale. En milieu citadin, l’énergie solaire est emmagasinée dans les matériaux des bâtiments, les revêtements des chaussées et des parkings, selon leur albedo, c’est-à-dire leur capacité à l’absorber ou à la réfléchir. La nuit, celle-ci est restituée sous forme d’infrarouge, donc de chaleur, dans l’atmosphère. L’air se refroidit donc moins vite qu’à la campagne. Un différentiel qui peut atteindre, dans les îlots de chaleur, de 3 à 10 °C. L’écart est très marqué entre les centres-villes très minéralisés et leur périphérie.
Ils constituent des atouts précieux, en fournissant de l’ombre et en rafraîchissant l’atmosphère. Différentes études tentent de quantifier ces effets pour les maximiser.
1228
Contenu réservé aux abonnés du Lien Horticole
Pour y accéder : 3 possibilités !
9 %
Vous avez lu 9 % de l'article
Vous êtes déjà abonné,
Si vous n'avez pas de compte, inscrivez-vous. Vous aurez besoin de votre numéro d’abonné.
J'ai déjà un compteVous n’êtes pas abonné, abonnez-vous.
Profitez de l’intégralité des contenus du site en vous abonnant en formule Intégrale ou 100% Numérique.
Vous n’êtes pas abonné, découvrez gratuitement.
Profitez, sans engagement, de tous les services de Le Lien Horticole pendant 1 mois, y compris l’accès complet au site Internet.