Un plan d’eau, qu’il soit ou non destiné à l’irrigation, constitue un couloir naturel de circulation pour la faune et la flore sauvages. Menés en partenariat avec l’École supérieure d’agricultures (ESA) d’Angers, les récents travaux (2019-2020) du réseau Arbre (1) 49 démontrent que des réserves d’irrigation vont concentrer une biodiversité plus élevée que d’autres.
Certaines initiatives liées à l’aménagement et à la gestion contribuent à développer la faune et la flore sauvages. En Anjou, le réseau Arbre 49 a identifié les principales pratiques, aujourd’hui rassemblées dans un guide à l’attention des porteurs de projets.
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