« Sauvages de ma rue », qu’est-ce-que c’est ? Le Muséum national d’Histoire naturelle, à Paris, qui fête les dix ans de cette action participative qu’il a initiée en collaboration avec l’association Tela botanica, montre à quel point son existence n’est pas totalement encore entrée dans les mœurs.
Pourtant, « le protocole est très simple et accessible à tous. Il suffit, au cours d’une promenade citadine, en vacances ou en face de chez soi, de choisir une rue et de noter toutes les espèces logées sur le trottoir. Une fiche de terrain et des fiches d’identification pour reconnaître les 240 espèces les plus communes sous nos latitudes sont mises à disposition sur le site de l’observatoire pour démasquer les « sauvages » les plus difficiles à déterminer. Une fois à son domicile, les données sont envoyées directement aux chercheurs via l’outil de saisie », explique le Muséum.
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Recherche participative Pour ses dix ans, « Sauvages de ma rue » fait le point sur son activité

Créé en 2012, l’observatoire de sciences participatives dédié à la flore urbaine, porté par le Muséum national d’Histoire naturelle et l’association Tela botanica à travers le programme Vigie-Nature, dresse aujourd’hui le bilan de ces quelques années d’observations citoyennes et d’analyses scientifiques.
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