«Autour des années 2008-2010, nous avons observé un déclin de la taille des cônes [soit la « pomme de pin »], moins de graines dans ces cônes (50 au lieu de 150) et une moindre qualité des graines », se souvient Jean-François Trontin, chercheur en biotechnologies forestières, alors à l’institut technologique FCBA (Forêt, cellulose, bois de construction et ameublement), aujourd’hui à l’Inrae.

En soumettant des clones de pins maritimes à différentes températures à des stades très précoces de leur vie, des chercheurs ont mis en évidence une mémoire épigénétique. Une avancée qui ouvre la voie à un possible conditionnement des arbres.
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