« Suite à l’accident nucléaire à Fukushima, nous avons été sollicités par des chercheurs japonais », se souvient Nathalie Leonhardt, directrice de recherche en physiologie végétale au sein du CEA (Commissariat à l’énergie atomique) et spécialiste du transport des ions dans les plantes. Les sols autour de la centrale nucléaire étaient contaminés par le césium 137. Comme cet élément est très proche chimiquement du potassium, les plantes sont susceptibles de l’absorber. Il n’est de ce fait pas possible de faire de l’agriculture dans les zones contaminées.

Le césium est abondant dans les sols contaminés à la suite d’accidents nucléaires. Pour limiter sa dispersion, certaines plantes peuvent être utilisées.
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