À Angers Une première boutique « Silence, ça pousse ! »

Au numéro 2, place Sainte-Croix, à deux pas de la cathédrale d’Angers (49), la première boutique « Silence, ça pousse ! » de France a ouvert ses portes le 29 novembre dernier, attirant bien vite les premiers curieux.

« Ce projet est une première pour nous : jusqu’ici, nous n’avions pas investi dans des points de vente », a confirmé lors de l’inauguration Catherine Bernard, directrice générale adjointe de France Télévision distribution (*). Dérivée de l’émission de France 5 animée par Stéphane Marie, la boutique d’Angers s’adresse d’abord aux habitants du centre-ville. « À tous ceux qui aiment jardiner ou souhaitent apprendre et n’ont pas nécessairement beaucoup d’espace ».

Un millier de références

Concrètement, la boutique s’étend sur 90 m². Elle est agencée en plusieurs zones : « Nous avons travaillé dans l’esprit de la rubrique “Pas de panique !” de l’émission télé, avec des espaces “véranda”, “balcon”, “jardiner sans eau”... » décline Aude de La Villarmois, directrice de la diversification à France Télévision.

Au final, des plantes aux outils en passant par les graines, les poteries, les revues et les livres de jardinage, la vaisselle et quelques produits artisanaux et/ou locaux, près d’un millier de références sont disponibles.

Concernant les végétaux, « il s’agit uniquement de plantes – nous ne vendons pas de fleurs coupées ! – et 80 % d’entre elles sont produites ici, dans le Maine-et-Loire », expliquent les dirigeants de France Télévision distribution qui ont noué, en 2016, un partenariat de licence avec l’entreprise Hortival (ex-Minier) et qui, pour l’approvisionnement du magasin, travaillent également avec Horticash.

Des animations et du coaching

Inaugurée fin novembre, la boutique « Silence, ça pousse ! » d’Angers est ouverte en continu, cinq jours sur sept. Elle emploie deux salariés et développera également – à partir de 2024 – des animations autour du jardinage. « L’idée est de les mettre en place en boutique, sur un thème précis et d’en faire un rendez-vous à caractère familial avec une participation financière modeste », évoque Aude de La Villarmois.

En parallèle, un service de coaching en jardinage est également en projet. Sur ce point, « le rôle du magasin sera de réceptionner les demandes pour ensuite les relayer auprès d’Hortival ».