Les images de producteurs jetant des milliers de fleurs en mars 2020, au moment du premier confinement décidé par le gouvernement pour enrayer la propagation de la pandémie de Covid-19, sont peut-être celles qui ont le plus marqué le grand public, parmi toutes celles qui ont été diffusées dans les médias. Elles en ont révulsé certains, qui ne comprenaient pas pourquoi elles n’étaient pas données aux personnes âgées ou au personnel soignant, par exemple. Mais elles ont peut-être aussi eu un effet d’électrochoc, montrant qu’il existe encore une production française d’articles très périssables.

Plus médiatique que les autres activités horticoles, le secteur de la fleur coupée a semblé, au début de la pandémie de Covid-19, en subir plus gravement les conséquences. Il semble finalement profiter également du report des ventes vers les produits classés « essentiels » et du désir des consommateurs de se tourner davantage vers le « local ».
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