Les deux pans de la production de jeunes plants horticoles présentent une typologie bien différente. En effet, du côté de la pépinière, l’activité hexagonale s’est bien sûr effritée ces dernières années, mais elle reste importante, avec des producteurs majeurs qui exportent une partie non négligeable de leurs plants. Du côté des plantes fleuries, le marché s’est complètement internationalisé, avec des plants et des graines voyageant allègrement d’Amérique, d’Afrique, voire d’Orient vers la France ou le reste de l’Europe. La production française est devenue marginale. Pourtant, pour ces deux secteurs, du côté des producteurs « éleveurs », l’inquiétude est la même actuellement : auront-ils suffisamment de jeunes plants pour les prochaines mises en culture ?
La forte dynamique des ventes ces derniers mois a provoqué des ruptures de stocks pour certains produits finis, les fruitiers, par exemple. Mais elle a aussi entraîné de fortes tensions sur les jeunes plants, qui se retrouvent à manquer après avoir été parfois trop abondants.
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