Objectif : « Donner aux consommateurs la possibilité de jardiner sans participer à la pollution plastique, puisque, comme on le dit toujours, le meilleur déchet est celui que l’on n’a pas ! » expliquent les dirigeants de l’entreprise créée dans les Vosges, dans les locaux d’une ancienne papeterie, à partir de l’invention d’un ingénieur aujourd’hui âgé de 88 ans, qui a imaginé à l’époque la machine permettant de fabriquer le Fertilpot.
100 % de fibre de bois
Ce pot composé de 100 % de fibre de bois, sans additif ni produit chimique, peut donc se mettre à nu sans complexe, d’où l’idée de la marque « Les Sans Culotte », une référence à la Révolution française, puisque l’idée est de révolutionner un marché dominé par le pot plastique, qui serait vendu à raison d’un milliard d’unités par an.
Avec cette gamme, l’idée de Fertil est de lutter contre la production de plastique et d’appuyer l’idée que plutôt que de recycler le matériau, mieux vaudrait moins en utiliser (Le Lien horticole n° 1129 de septembre, page 17).
Une plante sans culotte est sans artifice, avec un pot biodégradable qu’il n’y a pas besoin d’enlever, sans complexe, puisqu’elle s’épanouit sans contrainte, et sans déchet : c’est le concept promu via le site internet dédié. Avec un objectif pour le fournisseur : entraîner dans la démarche les acteurs de la filière, producteurs, collectivités et points de vente, mais également, au final, le consommateur !
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