« Le jardinier, en plus de ses activités directes, devient pédagogue et communicant ; il doit savoir expliquer ce qu’il fait » ; « Un jardinier peut en cacher un autre » ; « Le jardinier en milieu urbain va probablement devoir aussi devenir un jardinier naturaliste »… ainsi pourrait-on résumer – évidemment un peu caricaturalement – la journée du vendredi 31 mai dernier à Gruissan (11), près de Narbonne.
Elle était coorganisée et animée par Patrick Lafforgue, délégué régional d’Hortis*. Il s’agissait de brosser un vaste tour d’horizon de l’évolution du métier de jardinier en collectivités territoriales, à la fois artiste et technicien, et beaucoup plus. Il est parti des premières traces connues de jardins au cours de l’histoire humaine jusqu’à l’entrée progressive du « naturel » dans les espaces verts. Sans oublier le volet humain et l’importance de la transmission des savoirs autour du végétal.
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Métiers en mutation Bientôt une généralisation des jardiniers naturalistes ?

Avec les besoins cruciaux et croissants de nature et de biodiversité dans les espaces urbains, le métier de jardinier exige une multitude de compétences. Le sujet a mobilisé les professionnels et les adhérents d’Hortis en Occitanie.
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